Un besoin inquiétant : la psychothérapie
Êtes vous troublé (e), triste, en colère, angoissé(e), engourdi(e), souffrant(e), insomniaque… ?
- Vous sentez que vous avez besoin d’une aide psychologique, mais vous n’avez pas envie d’explorer les causes de vos problèmes.
- Vous n’en pouvez plus de n’être que l’ombre de vous même, mais vous ne vous voyez pas en train d’exposer vos blessures.
L’innovation en psychothérapie permet aujourd’hui des thérapie douces et agréables. Il n’est plus pertinent de vous empêcher de vivre.
Pour vous expliquer en quelques mots l’évolution des thérapie, il faut se représenter que depuis son invention, la psychologie n’a cessé de chercher à représenter , de façon pertinente et utilisable, la complexité du fonctionnement de la psyché humaine.
Une brève histoire des psychothérapies
- Freud et ses contemporains ont proposé une topologie de l’esprit: la psychologie était représentée, comme une carte de géologie, par des zones (conscient, inconscient, ça), réserves de traces mnésiques, de forces pulsionnelles de l’esprit et des échanges entre ces zones. Dans ce système de représentation, la thérapie ne pouvait être qu’une « fouille » profonde.
- Puis, la psychologie fonctionnelle a décrit la psyché comme un complexe de fonctions qui activent le système comportemental (entre désirs, craintes, contrôle, évitement, pulsions…). Dans ce système, la thérapie doit allier l’exploration fonctionnelle, l’acceptation des limites et l’optimisation des réglages… un truc mystérieux et compliqué, dont les résultats sont incertains.
- La psychologie métaphorique (comme le « Moi-peau » d’ANZIEU, ou l’IFS de SCHWARTZ, ou les états du Moi de BERNE) a permis de mieux raconter l’articulation des différentes dimensions du psychisme, de dessiner la complexité du rapport du sujet à son milieu de développement , de déceler les manques, et d’élucider des cold cases des psychopathologies familiales ordinaires. On sait mieux maintenant à quoi tiennent les dépressions, les angoisses qui altèrent la confiance en soi, empêchent la communication, transforment tout en risque. Avec les thérapies cognitives et comportementales (TCC), on a pu consoler et ré-adapter les patients, sans vraiment pouvoir toujours les rétablir dans un plein potentiel qu’ils apprenaient à ne plus fantasmer.
- Alors est (enfin) venue l’époque de l’essor des neurosciences. On découvre que la personne n’est pas qu’un esprit, et que son corps contribue à l’équilibre psychique par la dynamique polyvagale ou le microbiote qui connectent l’esprit à chaque centimètre cube du corps vivant, chaque centimetre carré de peau sous le regard des autres, le souffle et la température de l’air. On comprends mieux pourquoi le travail d’élaboration psychique de la psychanalyse peut durer aussi longtemps et laisser le sujet pantelant: Trop souvent immobile sur le canapé, plongé dans son passé, le patient achève de déconnecter corps et esprit.
Aujourd’hui, on a mesuré et prouvé que « c’est en activant les sensations corporelles qu’on augmente ses forces et qu’on retrouve des ressources que le sujet a déjà pu exercer mais qui semblaient avoir disparues. » - Les thérapies intégratives ou cognitivo-comportementales allient aujourd’hui tout ce qui a été éprouvé : les modèles métaphoriques (IFS), la stimulation psychocognitive (EMDR, EFT, CNV), l’hypnose analytique et autosuggestive (ICV), pour permettre la meilleure expérience possible. Elles traitent le sujet dans toutes ses dimensions : physique, physiologique, psychologique. Déjà de nombreux thérapeutes ont inventé leur technique personnelle qui conjugue plusieurs de ces techniques.
MOSAIC: l’innovation en thérapie intégrative
La plus aboutie de toutes les thérapies intégratives, la thérapie MOSAIC a été produite ces dernières années au CNRS de Marseille par l’équipe de Stéphanie Khalfa Des protocoles certifiés sont proposés pour tous les types de troubles psychiques: Dépression, TOCs, Phobies, Angoisse, Anxiété, Addictions, Peurs paniques, Anorexie, Troubles du stress Post traumatique. Son extraordinaire efficacité vient de ce qu’elle propose au patient tout au long des séances, par l’alternance de différentes techniques qui ont des effets spécifiques sur le système neuronal, de retrouver sensations corporelles, mobilité cognitive, énergie personnelle, ressources psychiques.
Vous qui cherchez à vivre la meilleure version de vous même, osez la thérapie!
Vous n’avez pas besoin d’être très dépressif ou dysfonctionnel pour consulter!
Une suspicion de Burn out , une petite dépression latente, une phobie envahissante se traitent entre 4 et 6 seances. Vous n’avez pas besoin d’être inquiet de ce que vous vivrez en thérapie.
La thérapie: une curiosité vitale de soi-même.
Mais, déjà, je sens que vous êtes curieux et que vous avez envie d’essayer ou de faire essayer à un proche que vous voulez aider! Dites vous, dites lui, que ce sera une belle expérience, joyeuse, jamais douloureuse, au cours de laquelle vous n’aurez pas besoin de raconter des expériences passées, ni d’étaler vos souffrances ou vos rancœurs. C’est une thérapie « solutionniste expérientielle ». C’est à dire que vous exprimerez d’abord ce que vous voulez apaiser, puis vous partirez en quête des besoins essentiels qui sont oubliés dans ces situations difficiles, (Votre thérapeute vous aiderai à les identifier) . Pas à pas, pierre à pierre, comme un Petit Poucet, vous tracerez la route d’une nouvelle expérience de la vie: apaisée, joyeuse ou simplement calme, comme vous le désirez et vous retrouverez tout votre potentiel.